Élodie Parcours D’Une Ado En Chaleur - Partie 11

Au petit matin, le soleil se lève, dardant ses rayons chaleureux sur la peau satinée d'Élodie, qui étire pour le deuxième réveil consécutif, ses membres endoloris. La peau du visage, couverte des restes de foutre de sa virée en moto de la veille, tire et lui fait mal.

Après quelques secondes, ses idées se remettent en place et elle se rend compte qu'elle est entièrement nue sur son lit. Les odeurs de sperme persistent autour de la jeune fille dont les membres se réveillent un à un. Sa chatte, ses tétons, sa pastille la brûlent légèrement, laissant une impression désagréable sur ses zones sensibles.

Elle se lève, la gueule dans le cul, et la peau tirée de sperme séché, elle n'a qu'une envie, prendre une bonne douche réparatrice et étaler de la crème sur ses orifices endoloris. Le jet d'eau chaude et la douce crème revigorent la gamine. Elle pose ses grandes lunettes sur son petit nez retroussé et observe son visage dans le miroir : "Comment est-ce que je suis rentrée moi ? Qui est-ce qui m'a reconduite ici ? Mr. Pequeur ?"

Elle ne sait même pas comment lui poser la question, elle devait en avoir pour 10 minutes, 10 petites minutes pour se branler devant ses deux porcs. Comment en est-elle arrivée à les laisser la baiser comme la dernière des trainées, dans une ruelle sombre et à peine à l'abri d'une grosse poubelle.

-Bon c'est pas tout ça ! Mais va falloir te bouger l'cul m'a fille !

Il n'est que 07h45 mais, avec ses parents absents, elle va devoir préparer l'ouverture du magasin. La gamine tord du cul lorsqu'elle traverse le salon entièrement nue. Malgré la crème apaisante, sa pastille lui fait plus mal que la veille. L'adolescente se prépare une cafetière avant de retourner dans sa chambre pour préparer ses fringues.

En ouvrant la fenêtre, pour faire entrer un peu d'air frais, elle ne peut retenir un regard gourmand en direction du chantier : "Qu'est-ce qu'ils deviennent mes p'tits ouvriers de Dimanche ?"

-Tiens ? Elle jette un coup d'œil sur son bureau, et en particulier sur la petite horloge que Mathieu lui avait signaler ce week end.



La gamine observe l'objet de plus près, et elle aperçoit le petit point noir .... "d'un objectif ?"
*PING* - Un nouveau message, elle pose le réveil, et, intriguée, elle retourne l'écran de son smartphone :

<Ne t'avise pas de fouiller l'appart' je t'ai à l'œil p'tite pute !>

"C'est donc ça !" Elle comprend enfin comment son maître chanteur peut surveiller le moindre de ses gestes dans l'appartement. "Il a dû planquer des cam un peu partout !" Instinctivement, elle regarde autour d'elle mais ne remarque rien d'anormal, mis à part le fameux réveil. "Mais qu'est-ce que .... ?"

Quiconque l'a ramenée chez elle la veille a tout juste pris le temps de la mettre à poil, mais il ou elle s'est appliquée à aligner les jouets sexuels sur la table de chevet de la gamine. Élodie retrouve l'énorme braquemard ventouse et son petit frère tous deux trônant fièrement sur leur base, le gode à manche, le chapelet anal, les doubles boules de geisha accompagnées de deux masselottes de masses différentes, et même sa petite lampe torche avec laquelle elle aime se branler seule.

Il a même pris la peine de les nettoyer ! Par contre, aucune trace de la micro-jupe et du crop top en dentelle, mais, bien accrochée à un cintre sur son miroir plein pieds, une légère robe portefeuille en lin blanc très fin, et aux bretelles spaghetti.

Pour compléter la tenue, Élodie trouve une paire de sandales fermées type Louboutin "Ah mais non putain, ce sont de vraies loubou !", blanches, semelle compensée d'au moins 5cm et 10 voir 12cm de talons aiguilles, fermées sur la cheville par un très fine lanière.

L'adolescente ne peut contenir son excitation, apparemment, quiconque la fait chanter, a les moyens de ses ambitions. Lorsqu'elle récupère le kit pour aller finir de se préparer dans sa salle de bain, la gamine repère le ras le cou en dentelle blanche. "HUM .... Je me demande bien ce que ça va donner sur moi ?"

Très coquette ce matin, la jeune fille prend le temps de parfaire l'épilation de tous ses poils, et d'hydrater sa peau agressée de sperme depuis des jours.
Elle étale la crème parfumée sur tout son corps et, après s'être parfaitement lissé les cheveux, elle dépose une légère couche de maquillage, eyeliner, fard à paupière rose à paillette, poudre rosée sur ses pommettes saillante et un trait de rouge à lèvre rose pâle brillant pour mettre en relief ses lèvres charnues.
Lorsqu'elle passe le ras le cou sur sa longue nuque effilée, elle a du mal à se reconnaître. Les lunettes épaisses terminent son look d'intello salope. Elle passe ensuite la petite robe légère dont les deux larges pans avant son juste maintenus en place d'un nœud à la taille.

Les triangles du décolleté soutenu de fines bretelles contiennent tout juste ses gros obus dodus et fermes. La forme de la robe ne permettant aucun soutien de la poitrine, la gamine hésite à se pencher en avant pour passer la lanière des chaussures confortables, malgré la finesse et la hauteur de talons.

Ses seins pendouillent sous sa poitrine, libres de tout mouvement sous le doux tissu un tantinet transparent. Suivant l'angle de vue dans le miroir, elle peut même deviner la corolle rosée de ses aréoles, et lorsqu'elle se redresse, la gamine devine clairement ses tétons pointer à travers le lin.

"Putain, si j'me voyais dans la rue, j'me baiserais sur place !" Conclue-t ‘elle avant de se rendre dans la cuisine prendre un dernier café avant de partir au magasin. Juste quand la jeune fille s'apprête à descendre au magasin, elle reçoit un nouveau message :

*PING*

<Pas si vite petite salope, tu vas t'enfiler les boules dans la chatte ! Comme tu t'es bien débrouillée avec la plus petite boule tu vas la remplacer par la boule moyenne.>

Élodie retourne dans sa chambre et soupèse les deux boules supplémentaires, qu'elle n'avait pas la veille. Elle dévisse la boule en place et la remplace par la moyenne. La gamine écarte la jambe gauche et tend le bassin en avant, puis elle commence à titiller son clito afin d'humidifier les parois de son sexe serré.


La jeune fille porte ensuite les boules à sa bouche et se met à les sucer pour les lubrifier de sa bave. Les souvenirs des bites qui lui ont fait tant de bien ce week end l'aide à mouiller rapidement, elle pourrait presque se faire jouir avant de partir bosser !

L'adolescente commence à se doigter, le bruit des boules entre ses lèvres gourmandes l'excite rapidement, quand son élan de plaisir est soudain interrompu :

*PING*

Passablement irritée d'avoir été interrompue, Élodie lit le message sur son écran :
<Dis donc p'tite chienne je t'ai pas autorisée à te faire jouir ! Enfourne moi ses boules au fond de la chatte et va bosser ! Pour punir ton comportement de chienne, je t'interdis de te branler de toute la journée !>

"Et tu trouves que c'est une punition connard ?" Mais la gamine ne va pas refaire l'erreur de se rebeller, elle lui répond :

<dsl je recommencerai plus!>

Pas de réponse, l'adolescente commence à comprendre comment le corbeau fonctionne, elle n'a qu'à jouer le jeu. "Si ça se trouve il va se lasser ?" Essaye-t ‘elle de se convaincre. La jeune fille finit par écarter ses lèvres vaginales et y insère la première "HUMPH", puis la deuxième boule :

-HUN .... Elle gémit en douceur de plaisir.

Une fois le toy en place entre ses muqueuses déjà trempées, elle se dirige vers l'entrée de l'appart. Les boules, un peu plus lourdes que la veille, ont tendance à glisser. La gamine tend les muscles de son périnée pour les maintenir en place. Les mouvements du jouet dans sa vulve maintiennent une excitation de ses muqueuses quasi permanente.

Un petit selfie pour Romu afin d'éviter le courroux du congolais, bien qu'elle ne rechignerait pas de se planter sur sa grosse bite.

Quelques minutes plus tard, la chatte toujours sollicitée par le jouet, elle se retrouve dans la réserve et finit, tant bien que mal, les préparatifs d'avant ouverture, quand la sonnette de livraison résonne.
Elle qui souhaitais mettre fin au plaisir naissant dans sa chatte, en s'installant au comptoir et passer la journée à bouger le moins possible, doit prolonger son "calvaire" quelques instants de plus. Élodie ouvre la porte sur ....

-Raphaël ? Mais qu'est-ce que tu branles ici ?

-C'est bon ! Me fait pas chier ce matin, c'est pour tes vieux que j'suis là ! Ils m'ont demandé de te filer un coup de main en attendant qu'ils rentrent ! Tiens vérifie si tu veux !

Il lui tend son phone, sur lequel la gamine peut lire le message de sa mère lui demandant en effet un coup de main. "Merci de m'avoir prévenu !" Enervée, la jeune oublie un instant les boules en elle et rend le smartphone au commis qui file dans le magasin sans demander son reste.

Élodie le suit, les frissons dans sa chatte reprenant de plus belle lorsqu'elle se masse intérieurement en frottant ses cuisses l'une contre l'autre. Le jeune homme ouvre la trappe le conduisant à la cave, et la gamine s'installe au comptoir après avoir ouvert la façade du magasin. Debout derrière le tiroir-caisse, juste à côté de l'ouverture dans le sol, elle attend les clients.

Les premières petites vieilles du quartier ne tardent pas à arriver et à déambuler entre les rayonnages, et alors qu'Élodie s'apprête à encaisser la première cliente, elle est surprise par les vibrations qui viennent de lui envahir la chatte.

Contrainte de rester debout à cause de la trappe ouverte dans le sol, la gamine garde les muqueuses de sa chatte serrée en permanence autour des boules de silicone. Lorsque le corbeau a démarré les vibrations du jouet, une décharge de plaisir diffus envahit la gamine :

-HUN .... Elle ne peut retenir un petit gémissant en s'agrippant au comptoir lorsque la cliente dépose le contenu de son cabas.

La gamine soupire et tente de se détendre :

-Bonjour Mme Laplace .... hun .... Elle contient difficilement le plaisir qui l'envahit ....

-Bonjour ma petite, tu es toute seule aujourd’hui ?

"Et merde elle va pas taper la discut' c'te vieille peau ?" Et les vibrations accélèrent un tantinet, juste assez pour arracher un nouveau gémissement contenu à la jeune caissière :

-hun .... Oui Mme .... ouf .... Laplace ! Les vibrations s’arrêtent : Mon père a emmené ma mère se reposer un peu !

-Ah c'est bien ....... La vieille se lance dans un monologue inaudible pour la gamine qui fond sur place, les oreilles bourdonnant de plaisir lorsque les vibrations reprennent.

"Ooooh putaiiiin la vache ...." Élodie s'agrippe à nouveau au comptoir, le bout de ses doigts blanchit sous la pression que la gamine exerce pour ne pas gémir de public. Heureusement les vibrations s'interrompent le temps d'encaisser la cliente qui continue de parler en payant :

-..... et c'était comme ça et pas autrement, tu comprends?

Un peu décontenancée, et sans la moindre idée de ce que vient de lui raconter sa petite vieille, Élodie l'encaisse avec un sourire de soulagement. Un mouvement derrière la surprend, Raphaël vient d'émerger de la cave.

Le jeune homme s'attèle à remplir les rayons pendant qu'Élodie continue d'encaisser les clientes suivantes, et pas une vibration pour la déconcentrer. Le magasin se vide et s'emplit de nouveau, lorsqu'un ouvrier se pointe, c'est un des mecs qui l'a peloté ce week end.

Un peu paniquée, la gamine se fait discrète lorsque le commis de son beau-père la surprend :

-Je vais derrière chercher des légumes, la devanture est presque vide !

-Ouais fait ça ! Lui répond-elle agacée, elle essaye de repérer les mouvements de l'ouvrier.

Le jeune disparaît dans l'arrière-boutique et l'ouvrier commence à lorgner le rayon de bouteille derrière la gamine lorsqu'elle se fait surprendre par les vibrations en elle :

-Ouuuf .... Elle sert les dents .... hun .... Contient un gémissement lorsque le portugais s'approche.

Les vibrations irrégulières en fréquence et en intensité sont un véritable calvaire pour la gamine qui voit le portugais s'avancer vers elle. La petite serre les doigts sur le comptoir, et essaye de ne pas succomber aux mini vagues de plaisir qui emplissent son ventre.

Elle observe discrètement le portugais qui passe devant elle sans la reconnaître apparemment, les vibrations s'arrêtent enfin. Quelques instants plus tard, Raphaël sort de la réserve et dépose les cagettes bruyamment sur le comptoir. L'ouvrier les salue et repart sans faire d'achats, lorsque le jeune commis s'accroupit derrière la gamine :

-T'as même pas fermé la trappe, j'aurais pas m'vautrer putain !

Élodie reste un instant interdite, l'ouvrier qui l'a pelotée il n'y a pas deux jours ne l'a même pas reconnue, et l'autre qui la fait chier, et qui réapparait comme par hasard à chaque fois que le jouet en elle s'arrête de vibrer. Mais ses pensées sont soudain interrompues par un contact doux à l'intérieur de sa cuisse :

-Mais tu mouilles comme une petite salope ! Lui chuchote Raphaël.

Le grand con est en train de glisser son doigt sur une coulure de mouille, il remonte doucement le long de l'entrejambe charnue. Son doigt inquisiteur effleure le capuchon du clito, déclenchant une vague de frissons sourds dans le ventre bourdonnant de la gamine. Il appuie ensuite en douceur sur le bouton gonflé : "Non non non, pas lui!" Élodie refuse de se laisser aller au plaisir qui l'envahit, mais elle n'a pas la volonté de résister.

La gamine sent son ventre papillonnant se tendre vers l'avant. Elle est sur le point de craquer quand la cloche d'entrée retentit. Trois ados font irruption dans le magasin en s'injuriant copieusement.

"Oh putain !" Les gamins ne pouvaient pas arriver à un meilleur moment ! Dans l'interdiction de se soulager elle-même, Élodie avait secrètement espéré que le commis fasse le boulot pour elle, mais la présence des adolescents la "protège" temporairement.

Élodie remet sa robe en place, et Raphaël, soupirant de dépit referme la trappe et se redresse pour aller vider les cagettes à l'extérieur. Elle le suit du regard, mais il disparaît derrière les étalages à l'extérieur. Soudain, l'adolescente se fait doublement surprendre, les vibrations reprennent en elle au moment où un des adolescents l'interpelle. Élodie a du mal à contenir un nouveau gémissement, elle se crispe en tournant son attention vers le jeune homme au look ringard de banlieue :

-Eh mademoiselle, t'as pas d'la 86 pour ma team ?

"Nan mais il est sérieux lui ?" Le gamin en jogging, casquette, sac Vuitton et claquettes chaussettes, lui demande de la 86 à 10h00 du matin, alors qu'elle a du mal à contenir les vagues grondant dans son ventre. Les vibrations s'arrêtent enfin, Élodie reprend un peu ses esprits et tente d'apercevoir Raphaël en répondant au gamin :

-HUM HUM .... Elle s'éclaircit la gorge ; Si si .... Euuh ....

Elle se retourne et comprend mieux la requête de l'adolescent, les cannette noires sont sur une étagère haute ! "Ouais ils veulent surement me reluquer le cul !" Élodie tente une esquive :

-Il va me falloir une pièce d’identité !

-Wallaaaah! Comment elle te prend trop pour un gamin, frère !

-Vas-y! Fais pas ta tepu, les v'la mes papiers !

"Merde il a 18 ans ce con !" Élodie déplace l'escabot trois marche à roulettes et monte attr le pack. Une fois sur la troisième marche, et malgré ses talons, elle est encore un peu juste et doit se mettre sur la pointe des pieds en tendant les bras en l'air.

La jupe de sa robe glisse sur ses cuisses, à la limite de ses lobes fessiers. Élodie att enfin les cannettes lorsqu'elle entend les *CLIC* des smartphones en train de la prendre en photo sans aucune discrétion. L'adolescente apprécie bizarrement qu'on lui mate le cul, mais ne veut pas faire la fille facile, elle tire sur le bas de la robe et se retourne subitement :

-Hey ça va ? Faut pas se gêner !

-Zyva mam'zelle, une belle gazelle comme toi, on peut pas résister !

-Ouais, nous les gazelles, on les publie ....

Les "moustachu" lui règle le pack et rajoute avant de partir :

-Euuh mad'moizelle, tu décroches à quelle heure ? On peut t'payer un coup .... et plus si affinité? Lui lance-t ‘il avec un clin d'œil.

-Euuuuh .... Ouais mais non ! Ça va pas être possible !

-Huum dommage ! Lui répond-t ‘il en la déshabillant du regard.

Et le trio repart en déconnant sur la gamine qui sent le rouge monter à ses joues :

-Walllaaaaah frère comment t'as voulu t'la pécho !

-Mais vas-y frère, t'as vu son boule ? Et la paire de insses ? Walllaaaah ....

Élodie les suit de loin dans la boutique pour s'assurer qu'ils partent. Des gamins de la cité qui la "publie" et qui veulent lui "payer un coup", y manquait plus que ça. Elle essaye de dénigrer les idées qui embrouillent son sens commun, et pourtant, elle sent comme un creux dans son ventre, un manque de quelque chose mais elle ne peut pas, ou ne veut pas l'identifier, une jouissance non assouvie ? Est-ce que l'invitation de ces petits cons l'excitent d'une certaine manière ? Quelle nouvelle perversité est en train de la gagner ?

Alors que les garçons sortent du magasin, Raphaël rentre et Élodie ne peut que remarquer la boursouflure sous le jeans tendu du jeune homme. "Est-ce qu'il a tout suivi de loin ? Est-ce que ça le fait kiffer de m'imaginer seule avec des p'tits cons comme eux ?"

L'adolescente se laisse aller à imaginer la taille que peut faire ce braquemart. Est-ce qu'il est aussi long et aussi gros que celui de Romu ? Est-ce qu'il saurait la faire jouir ? Sans s'en rendre compte, elle porte un doigt à la bouche en le regardant passer, gourmande, des fourmis dans la chatte à imaginer cette grosse bite coulisser en elle.

Elle bombe le torse de désir, croise les jambes pour sentir le frottement de ses cuisses nourrir son extase, lance un regard gourmand sur le sexe gonflé, mais le jeune homme passe devant la gamine sans même un regard et file dans l'arrière-boutique.

"Putain ! L’enculé !" La petite est piquée au vif, d'abord l'ouvrier, et maintenant le commis, qui essaye de se la faire depuis des mois, et maintenant qu'elle est chaude comme la braise, il ne la calcule même pas. "Merde c't'enculer a pourtant essayé de m'doigter ce matin !"

-Nan mais j'vais pas bien ! Se chuchotte-t 'elle, rêveuse.

*BZZZZ* *BZZZZ BZZZZ* *BZZZZ* *BZZZZ BZZZZ* *BZZZZ* *BZZZZ BZZZZ*

Les vibrations intenses et soudaines dans sa chatte brûlante et dégoulinante de désir pour la bite du commis, lui arrachent un *HAN* de plaisir non contenu au milieu du magasin. Pile poil le moment que choisit Mme Pinot pour entrer et prendre son service au comptoir. La vieille quadra travaille pour ses parents depuis deux ans, et elle ne supporte pas la gamine qui "profite trop de sa jeunesse".

-HUMPH Bonjour Élodie ! Lui lance la marâtre d'un ton dédaigneux.

Mais Élodie n'est pas en mesure de lui répondre, elle reste pliée en deux, espérant que les effets du plaisir soudain qui l'envahit se dissipent rapidement.

-Excusez-moi .... OUF .... Bon .... jour Madame .... Pinot ....

La gamine, semi-consciente de ce qui l'entoure, halète et se cambre de plaisir, les mains en appui sur une étagère. Elle se baisse derrière le présentoir pour ne pas se faire repérer par Madame Pinot, puis, soudainement, les vibrations s'arrêtent lorsque la cloche d'entrée retentit.
*PING* Les yeux dans le vague, une envie irrépressible de se branler la chatte, elle lit l’écran :

<Bouge ton p'tit cul de salope, tu as trois minutes pour récupérer le sac que j'ai laissé devant ton magasin, tu ne le ferme sous aucun prétexte et tu traverses la rue fissa ! Dernier point, tu n'as pas le droit de toucher ta robe jusqu'à ce que je t'y autorise, sinon je balance !>

Pour appuyer son argumentaire, le maitre chanteur lui envoie une photo d'elle lorsqu'elle se fait prendre en double derrière le bar. Maintenant qu'elle connaît la volonté de son corbeau, elle ne perd pas de temps, et profite de l'arrivée de Mme Pinot pour s'éclipser.

-Je reviens Mme Pinot ! Lui déclare-t ‘elle en passant le pas de la porte, afin d'éviter toute explication.

La précipitation et les chairs détendues et gonflées de sang et de désir font glisser les boules de geisha. Élodie contracte son périnée au maximum lorsqu'elle se déplace le long de la devanture du magasin. Elle repère alors sa pochette bandoulière : "Il a dû faire un double de ma clé en plus!"

La pochette est grande ouverte, et l'adolescente repère instantanément le gode à manche noir brillant contrastant avec l'intérieur rose pâle du petit sac blanc. "Merde, qu'est-ce qu'il a encore prévu ce con ?" Se dit la gamine qui, fébrile, att la pochette avant que quelqu'un ne repère son contenu. Stressée d'être exposée en public, et en plein jour au milieu de la foule, elle traverse l'avenue en courant.

Bien qu'habituée aux plateformes et aux talons aiguilles, Élodie a du mal à courir, perchée sur la paire de loubous. Ses seins sans soutien, sautent en cercle dans le décolleté lâche de sa robe légère.

Les pans de la robe commencent à s'écarter à cause des mouvements amples de ses mamelles. La brise qui coure entre ses cuisses écarte légèrement le tissu et expose le haut des jambes fines de la gamine. Élodie lutte de toute ses forces pour ne pas remettre son vêtement en place. L'image de sa mère découvrant les penchants exhibitionniste de sa fille l'aide à ne pas succomber à la tentation.

Lorsqu'elle arrive enfin sur l'autre trottoir, elle aperçoit son reflet dans la vitrine du bar tabac ; "Bon ça pourrait être pire !" Le décolleté est légèrement évasé mais ses seins sont toujours protégés derrière les triangles de tissu. Elle se tourne en direction de l'entrée du tabac mais se fige sur place lorsqu'elle les aperçoit.

Élodie bloque un hoquet de panique en couvrant sa bouche de la main droite. Elle est toute tremblante lorsque son téléphone vibre :
<Allez p'tite pute ! Bouge ton cul et avance, tu vas allumer innocemment tes nouveaux potes en te penchant devant eux !>

L'adolescente, interdite, ne peut bouger un muscle. Mais le corbeau a plus d'un tour dans son sac, les vibrations douces et continues des boules de geisha reprennent. L'adolescente est parcourue par un frisson de panique, son ventre s'emplit d'une nouvelle chaleur, la peur du trio de racails, l'excitation d'exposer son corps nu dans son écrin de tissu.

Sa raison prend encore le dessus sur sa peur, elle ose répondre :

<dsl, je peux pas! j'ai trop peur!>

Les vibrations accélèrent, la gamine gémit, une larme mouille le coin de son œil. Est-ce qu'elle a peur d'eux ou peur d'aimer s'exposer sans se l’avouer ?

<Si tu bouges pas ton cul, je mets tout à fond !>

Les pieds de la gamine s'animent tout seul, son esprit se détache légèrement de son corps alors qu'elle approche du trio. Élodie fixe le sol pour ne pas croiser leur regard, elle voudrait se faire toute petite, mais son corps la trahit, elle sent bien ce plaisir honteux monter en elle, cette chaleur sourde et gonflante qui gonfle à nouveau dans son ventre, ses muqueuses gonflées et humides qui ont tant de mal à garder le jouet en place.

Ses oreilles bourdonnent lorsqu'elle approche du banc en pierre, et lorsqu'elle aperçoit les canettes d'aluminium, elle fait mine de remettre une lanière en place. La petite s'accroupit devant le trio, et dépose la pochette grande ouverte à ses pieds.

Le pan de sa robe dévoile l'intérieur de sa cuisse, tout en cachant son entrejambe. Le décolleté s'écarte sous sa poitrine et dévoile ses gros seins pendouillant et légèrement secoués par le mouvement de ses bras.

Les trois jeunes sont aux abois, heureusement qu'elle est entourée des passants, sinon elle se ferait violer sur place. Le rouge monte dans ses joues et la honte mêlée d'un plaisir interdit papillonnent dans son ventre. Son palpitant est sur le poing d'exploser dans sa poitrine, elle l'entend battre dans ses tempes. Elle voudrait se faire toute petite, ne plus exister, mais elle est rappelée à l'ordre. Son phone vibre lorsque les jeunes commencent à bouger :

<Va dans l'UGC en face !>

Sans demander son reste, la jeune fille récupère son petit sac et file en direction du complexe. Elle se focalise sur l'entrée du cinéma et, sans se poser de questions, prend un ticket pour la prochaine séance. Bingo une salle vient juste d'ouvrir, elle s'y précipite avant de se faire repérer. A l'abri, seule dans le noir de la salle, elle se planque tout au fond à l'avant dernier rang. Son cœur commence à reprendre un battement régulier, et elle ressent les contre effets de l'adrénaline, le goût métallique dans la bouche, les mains tremblantes.

Mais son cœur stoppe, son corps se fige lorsqu'elle les voit pousser la porte de la salle. Elle veut se faire toute petite pour qu'ils ne la voient pas, quand l'écran de son téléphone s’illumine :

<Branle toi p'tite salope !>

<pitié non! je ferai tout ce que tu veux mais s'te plait, laisse-moi sortir!>

Pour toute réponse elle reçoit un nouveau clicher : Elle pompe les deux mecs derrière le bar couverte de sperme. Élodie observe l'entrée de la salle, ils l'ont repérée et se dirige vers elle, comme des prédateurs. La petite brunette laisse alors son corps prendre le contrôle, instinctivement, elle réprime sa raison et laisse la chaleur l'envahir.

L'adolescente appuie sa tête sur le dossier et l'incline à l'opposé des nouveaux arrivant, elle dévoile un sein et commence à jouer avec son téton, alors que sa main libre glisse sous la robe pour jouer avec son clito gonflé. A quoi bon le nier, elle sait maintenant qu'elle aime s'exhiber, la présence des trois gamins derrière elle l'excite, son sexe humide et gonflé, son corps arqué de plaisir ne peuvent lui mentir.

Les mains des gamins commencent à glisser timidement sur sa peau:

-Wallah mate moi la tepu frère !

-J'vous l'avais dit ! Une vraie chienne de blanche !

Les insultes la grisent, un des garçons tire sur le nœud et à deux, ils exposent le corps nu de la gamine en train de se branler. La lumière du film créé une ambiance irréelle, et les ombres jouent et courent sur ses formes généreuses. La gamine n'est plus qu'un bout de viande en manque de plaisir, elle ne peut plus le nier, elle font de plaisir sourd sous le contact anonyme de ces mains qui glissent sur sa peau, qui pincent et titillent ses tétons :

-HAN .... Oui ....

Elle gémit de plaisir à leur contact, mais les gamins ne sont pas des tendres, et leurs doigts inquisiteurs commencent à lui fouiller la chatte :

-Ecarte les cuisses sale chienne !

Élodie n'a plus aucune volonté, elle pose ses pieds sur le dossier devant elle et écarte les cuisses. Ses mains jouent avec ses tétons qu'elle tourne et pince, qu'elle étire, pendant que les doigts fouillent son intimité :

-La salope, elle se promène avec un gode dans la chatte !

Dans un bruit humide, un des gamins retire les boules de geisha luisantes de mouille et les portent à la bouche de la jeune fille qui les aspire à demi consciente.

*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*

Les doigts s'agitent dans sa chatte, elle se cambre de plaisir et gémit la bouche pleine :

-Putain la chaudasse !

Deux des gamins se placent à côté d'elle et guident ses mains fines sur leurs bites tendues d'excitation. Élodie commence à les branler pendant qu'ils jouent avec ses gros seins, alors que le moustachu à casquette lui astique la chatte.

La gamine n'est plus que leur jouet sexuel, elle est assise, nue, exposée, les cuisses écartées en appui sur les dossiers devant elle. Les deux doigts du moustachu vont et viennent en elle avec force et vigueur mais il s'arrête de la branler, à chaque fois, au pic de son extase, juste avant la jouissance. Il sort ses doigts trempés et les lui fait lécher, puis il plonge sa main dans la pochette à ses pieds et en sort le gode qu'il zyeute depuis un moment :

-Les gars matez moi ça ! Toi la pute, met toi à genou sur ton siège et appuie tes mains devant toi !

A moitié consciente, Élodie obéit et prend position, ils écartent la robe ouverte pour exposer son cul :

-Cambre ton gros cul de salope !

Les mains de ses potes écartent les fesses de la gamine et sans préparatifs, le moustachu plante le gode à manche au fond de la chatte dégoulinante de plaisir.

*FOUIC* *FOUIC* *FOUIC* *FOUIC*

Il lui astique la chatte copieusement et arrache de longues plaintes de plaisir à l'adolescente, mais il prend un malin plaisir à lui interdire toute jouissance en arrêtant de la goder au point culminant de son extase. A chaque fois il lui plante violemment le gode et le bloque tout au fond de la chatte.

Élodie est essoufflée de plaisir contenu, son corps en sueur se languit d'une bonne baise que les ados lui refusent. Ils se contentent de la toucher, de la doigter, mais lui refusent leurs bites même pour une fellation.

Ils branlent et caressent la gamine pendant les pubs et Élodie souffle de plaisir, la chatte ramonée par le gode à manche, le cul emplit des grosses boules vibrantes et les seins oscillant sous sa poitrine, tirés, maltraités, pincés, claqués, lorsqu'une lampe torche balaye soudain la salle de projection.

Paniquée, la gamine se recroqueville instantanément sur elle-même, et s'assoit le cœur battant la chamade et les jouets encore plantés en elle. Sa chatte dégouline sur l'assise du fauteuil lorsque le vigil s'approche d'eux.

-Messieurs, veuillez me suivre !


********************

Ecrit en collaboration avec le génialissime auteur pervers HDS : Silveradd

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